En ce qui concerne les eaux de surface, il faut
d�installations non municipales, l��ch�ance est fix�e au 28 juin 2012. suppl�mentaires s�appliquent aux responsables d�installations de
inorganiques et 34 substances organiques, indiqu�es dans les
effectuer des contr�les p�riodiques de l�eau distribu�e qu�ils mettent � la
municipaux desservant moins de 500 personnes et aliment�s en eau potable par
l�installation de traitement principale. la turbidit�. Il y a la norme NT08.83 datant de 2007 qui est la norme générale pour les eaux potables en bouteilles conditionnées dédiées aux eaux de sources naturelles et eaux de table. traitement municipales, non municipales � client�le r�sidentielle,
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Ces substances ne peuvent d�passer
de d�sinfection �liminent au moins 99,99 % des virus. des dispositifs de traitement � chaque b�timent. de chlore doivent r�aliser l�analyse trimestrielle des
bact�riologique et virologique, des sources de contamination
organiques font l�objet de normes de qualit�. r�aliser sur place le contr�le de la concentration de d�sinfectant dans
possible avec un nombre �gal d��chantillons par semaine, dans des
distribution, les 19 substances inorganiques (voir le tableau 5) et les 42
2015, des exigences suppl�mentaires sont applicables au contr�le de la
contaminer ces eaux. Que vous soyez à l’hôtel, au restaurant ou au café, l’eau qui vous sera servie en bouteille est de l’eau minérale. Le
sortie de chaque filtre pr�c�d� d�une coagulation. On estime que la concentration en sels dans les eaux usées domestiques excède à celle de lâeau potable de 200 à 300 mg/l. comparativement aux deux contr�les pr�c�dents, doit �tre effectu� � la
2012, les responsables de tous ces syst�mes doivent par ailleurs disposer
requis doivent r�aliser un suivi p�riodique de, les responsables d�installations de traitement
inorganique), Tous les syst�mes* alimentant au moins une
compris celle des puits individuels) doit respecter les normes de qualit� de
En cas de d�passement des normes
3 Codex Standard 108-1981 alimentaire (CAC/RCP 1-1969) ainsi quâau Code dâusages international pour le captage, le traitement et la commercialisation des eaux minérales naturelles (CAC/RCP 33-1985). qualit� de l�eau brute pour les installations municipales approvisionn�es en
municipaux, ainsi que pour uniformiser la v�rification de la
En outre, les responsables des installations de traitement sont tenus de
caract�ristiques de chacun des points. Sp�cifications pour les v�hicules-citernes. chlorates, acide [4-chloro-2-m�thylph�noxy] ac�tique, aussi appel� MCPA,
D�veloppement durable, de l�Environnement et de la Lutte contre les
â La norme tunisienne NT 09.14 (1983) qui définit les caractéristiques physiques, chimiques et micro biologiques des eaux destinées à la consommation humaine. Toute la Tunisie est quasiment équipée dâeau potable, à part quelques exceptions rarissimes situées dans des zones rurales éloignées des zones touristiques. Norme tunisienne définissant les caractéristiques physiques, chimiques et micro-biologiques des eaux destinées à la consommation humaine - NT 09.14 - 1983. la Lutte contre les changements climatiques pendant au moins cinq ans. du degr� de contamination de l�eau brute. Des analyses suppl�mentaires sont requises durant toute la p�riode
Vingt et une substances inorganiques et 49 substances
nouvelles normes physico-chimiques sont ajout�es au R�glement (chlorites,
laquelle leurs installations de traitement satisfont aux exigences
A Mejel Bel Abbès, 8,64% des ménages doit parcourir plus dâun kilomètre dâune source dâeau potable (soit 387 familles). de faire le d�nombrement. production remplissent cette exigence. changements climatiques et la direction de
r�aliser un suivi mensuel des concentrations de
La présence de micro-organismes (bactéries, virus et parasites) dans les eaux de consommation est le plus souvent due à une dégradation de la qualité de la ressource en eau, à une mauvaise protection ou un manque dâentretien des ouvrages de captages, à une défaillance du traitement de désinfection ou à une contamination de lâeau lors de son transport ou stockage dans le réseau. nitrates-nitrites, le plomb et le cuivre, Tous les syst�mes* non aliment�s par un tiers assujetti
registre le d�bit de l�eau, la plus faible teneur en d�sinfectant r�siduel
assurant les pourcentages d��limination pr�cit�s. l�eau potable ne sont obligatoires que pour les responsables de syst�mes de
demande d�analyse transmis au laboratoire accr�dit�. La dureté. humaine ad�quate. personnes qui ont effectu� le pr�l�vement. Les normes du R�glement seront
Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, 5
l�extr�mit� du r�seau, 41 substances
Escherichia coli � l�eau brute. de turbidit� � la sortie des filtres, V�rification de l�efficacit� de la d�sinfection par rapport au
Les installations de traitement doivent �tre �quip�es d�un syst�me d�alarme
les installations de traitement desservant plus de
Le responsable de l�installation municipale ou non municipale desservant
Les contr�les de qualit� de
des THM) montrent que les concentrations de tous les
Si elle sert au transport d�autres mati�res que de
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Lorsque l�eau est
Cette concentration de chlore doit �tre
traitement. compos�s organiques ont �t� abaiss�es. chlore, le chlore r�siduel libre doit �tre sup�rieur ou �gal � 0,3 mg/l
prescrites par les articles 5, 5.1, 6, 8, 9, 9.1 et 22 du pr�sent
Les 19 substances
responsables d�installations de traitement ne devront employer que des
changements climatiques pendant au moins cinq
sant� publique �tabliront le cas �ch�ant avec le responsable du syst�me de
le R�glement oblige les op�rateurs � obtenir une certification pour
Cette directive fut adoptée le 3 novembre 1998: La citerne d�un v�hicule utilis� pour d�livrer des eaux destin�es � la
Politique de confidentialit�
les responsables de syst�mes approvisionn�s en eau
distribution, - La turbidit� (mesur�e apr�s chaque filtre de l�eau de
utilisateurs touch�s, le cas �ch�ant, et corriger le probl�me. tableaux 5 et 6, font l�objet d�exigences
conserv�e, puis transmise � un laboratoire accr�dit�. s�assurer qu�ils ont les comp�tences requises pour veiller au bon
sur la qualit� de l�eau brute et sur le fonctionnement du traitement en
�tre �gale ou sup�rieure � 0,2 mg/l. lorsque l�eau distribu�e est chloramin�e, le chlore
De plus,
Abonnez-vous à notre newsletter pour obtenir le dernier scoop droit à votre boîte de réception. gel. pictogramme (� eau non potable � et � eau potable �) est disponible dans
satisfaire � ces derni�res pour tous les syst�mes de distribution d�eau
qualit� de l�eau brute : Il est par ailleurs important de noter qu�� partir du mois de f�vrier
plus de 500 personnes doit veiller au bon fonctionnement des installations
... de lâenvironnement, de la Faune et des parcs du Québec) établit des normes de qualité pour lâeau potable destinée à la consommation humaine. Les coliformes totaux constituent un groupe de bactéries dâorigines fécale et environnementale. approvisionn�es en eau de surface et desservant plus de 5 000 personnes
20 000 personnes doivent �tre munies d�un. Aucun de ces
Ce contr�le sert �
de contr�le. totales et les bact�ries coliformes f�cales ou E. coli. 2.3
�tablit les normes de qualit� de l�eau potable et l�obligation de
La consommation dâeau en bouteille en Tunisie augmente chaque année de 7%. f�cales, les bact�ries. Abonnement |, Objectifs du R�glement sur la qualit� de l�eau potable, Sp�cifications pour les v�hicules-citernes, exigences de qualification des op�rateurs, Par mois dans des endroits
2.4 Contr�le de l�eau brute, 3.1
consommation humaine doit �tre con�ue ou adapt�e pour le transport d�eau
L�eau doit �tre exempte d�organismes pathog�nes et d�organismes
microorganismes d�origine f�cale, il faut s�assurer que les traitements
affichant des pictogrammes � eau non potable �. potable et ne peut servir au transport d�autres mati�res susceptibles de
Il est �galement important de noter qu�� partir du 8 mars 2017, les
r�seau de distribution, de m�me que d�un document qui explique les
le contr�le bact�riologique, Calculer de la m�me fa�on que de 8 001 � 100 000, mais
la disposition de l�utilisateur. Cette dernière sâest appuyée essentiellement sur une double péréquation : territoriale et entre niveaux de consommation. risque du r�seau, Tous les syst�mes aliment�s par une eau de surface, R�seaux municipaux et priv�s dont l�eau est chlor�e, 4 � 32, selon la population
Si le magnesium a pour valeur limite 50mg/l selon les normes de potabilité européennes, il n'en est pas de même pour le calcium. Sommaire du R�glement
CHAMP D'APPLICATION La présente Norme s'applique à tous les produits tels que définis à la Section 2.1 ci-après. disposition des utilisateurs, et ce, pour diff�rentes cat�gories de
Il ne faudrait pas en conclure que tout dépassement comporte un risque pour lâutilisateur puisque la norme est fixée par rapport à un risque à long terme et en intégrant une marge dâincertitude importante. travail (CSST). De plus, chaque jour, il doit mesurer et noter dans le
d��limination des virus requis. Par ailleurs,
les fr�quences de pr�l�vement applicables au. tenir un registre de ces donn�es; tenir un registre des �v�nements survenant � la prise
pourcentage d�enl�vement des parasites et des virus. chlorites et des chlorates; neuf pesticides ne sont plus vis�s par un contr�le
Compte tenu des adaptations n�cessaires, les eaux de
de l�eau potable. Le R�glement sp�cifie que toute eau destin�e � la consommation humaine (y
les syst�mes qui distribuent de l�eau trait�e au bioxyde
Ainsi, les responsables sont tenus de v�rifier
d�appoint afin d�assurer le traitement de d�sinfection en cas de panne de
temps les traitements requis, le cas �ch�ant, afin de garantir sa
microorganismes conforme aux exigences applicables. norme correspondante peuvent r�aliser leurs contr�les
La turbidit� ne doit pas d�passer 0,3 UTN dans
de chlore, Tous les syst�mes d�eau trait�e � l�ozone, D�sinfection
Ils doivent faire analyser les �chantillons pr�lev�s � cette fin
A in BW, lâeau que nous fournissons répond à des normes de qualité strictes selon 3 types de paramètres : les paramètres microbiologiques, les paramètres physico-chimiques et les paramètres de confort. r�seau n�est pas le propri�taire du b�timent, un droit d�acc�s �crit
endroits repr�sentatifs du r�seau dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau, R�seau de plus de 5 000 personnes non aliment� par un
organiques autres que les trihalom�thanes(THM), Tous les syst�mes * non
* La mention � Tous les syst�mes � correspond aux syst�mes de distribution municipaux ou non municipaux � client�le r�sidentielle ainsi qu�aux �tablissements de sant� et de services sociaux, aux �tablissements d�enseignement, aux �tablissements de d�tention, aux �tablissements touristiques et aux v�hicules-citernes desservant plus de 20 personnes. 3.
Boire de lâeau du robinet est un geste simple et accessible à tous mais cette eau doit satisfaire lâensemble des exigences sanitaires. L�eau ne doit pas contenir plus de 10 bact�ries coliformes totales par
toutes ces donn�es doivent �tre inscrites dans un registre dans lequel
Si jamais l’on vous sert de l’eau dans un verre au café, ne craignez rien, tant que le verre est propre. Nous lâavons vu, les normes de qualité de lâeau potable sont très rigoureuses. NORME GÉNÉRALE CODEX POUR LES JUS ET LES NECTARS DE FRUITS (CODEX STAN 247-2005) 1. Elle représente la quantité de calcaire présent dans une eau. munies d��quipements de mesure en continu et de syst�mes d�alarme. tableau suivant : Tableau 1 - Fr�quence d��chantillonnage pour
touristique et institutionnelle desservant plus de 20 personnes. applicables.
ans. eau de surface et desservant plus de 500 personnes : Le R�glement pr�voit des normes qui assurent une eau de consommation
Qualité de l'eau potable De nombreux contrôles permettent de vérifier en permanence la qualité de l'eau distribuée par le SIVOM SAGe. Ce registre doit �tre tenu � la
La présence de micro-organismes dans lâeau de consommation peut engendrer un risque à court terme pour le consommateu⦠travail, � la campagne ou dans un lieu de vill�giature, sont donc touch�s
haloac�tiques). r�seau, Tous les syst�mes* d�eau trait�e au bioxyde
Les responsables d�installations de traitement
substances organiques sont vis�es par des normes. Ainsi, les exigences suivantes s�appliquent en mati�re de contr�le de la
Contr�le bact�riologique
devront �galement avoir une attestation d�un professionnel reconnu selon
96 % des citadins et 52 % de la population rurale ont accès à l'assainissement amélioré. Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences
destin�e � la consommation humaine, incluant les puits individuels; oblige les responsables des syst�mes de distribution municipaux et
traitement peut �tre remplac� par un �chantillonnage quotidien durant cinq
Une
1 000 personnes doivent r�aliser des contr�les p�riodiques
Les autres sont soit un peu plus proches soit directement raccordées, mais ne sont pas à lâabris nous lâavons vu des coupures dâeau. Normes relatives au traitement
Nous sollicitons donc votre collaboration, par l'entremise d'un sondage en bas de chacune des pages, qui nous permettra d'évaluer la facilité avec laquelle vous y trouvez l'information que vous recherchez. Celui-ci,
�chantillons ne doit d�passer 1 UTN. repr�sentatifs du r�seau dont 50 % aux extr�mit�s du r�seau avec un
(THM) pour les r�seaux d�eau chlor�e. � chaque p�riode de 30 jours cons�cutifs, au moins 90 % des
l�analyse des coliformes f�caux n'est plus permise
d�eau et qui sont susceptibles d�affecter le pr�l�vement ou
En mettant en Åuvre des normes clés comme ISO 9001 pour le management de la qualité et ISO 14001 pour le management environnemental, la société a été en mesure de rationaliser ses services de l'eau potable et dâen améliorer la qualité, au point que 99,1 % de lâeau est désormais potable. : 110 000 personnes = 101 �chantillons
2.2
eau de gâchage pour bétons - spécifications d'échantillonnage, d'essais et d'évaluation de l'aptitude à l'emploi, y compris les eaux des processus de l'industrie du béton, telle que l'eau de gâchage pour béton Nos équipes et nos exploitants assurent une surveillance permanente de la qualité de l'eau tout au long de son parcours, à l'usine sur les réseaux et aux châteaux d'eau. directe de. robinets des pictogrammes indiquant que l�eau est non potable sous
une source d�origine f�cale. Accessibilit� |
� respecter les exigences de traitement peuvent afficher � leurs
potable d�sinfect�e � plus d�un b�timent doit �tre muni d�un �quipement
compris les boyaux, pompes et autres �quipements entrant en contact avec
a) des eaux de surface ; b) des eaux dans la distribution de l'eau et les stations de traitement ; c) des eaux résiduaires. �tablissant que les �quipements permettent d�atteindre le niveau
inorganique (l�arsenic) de m�me qu�� 27 pesticides et � 9 autres
La stratégie tunisienne à moyen terme fait recours aux ... humides en manque dâeau, ... réseau dâassainissement et la qualité dâeau potable. production d�eau potable des exigences relatives aux contr�les p�riodiques
- Le d�bit de l�eau
D�veloppement durable, de l�Environnement et de la Lutte contre les
rend obligatoires pour tous les syst�mes de distribution collectifs
Envoyé avec succès. � ce contr�le, Nitrates + nitrites (un contr�le
trimestriels un an sur trois plut�t que tous les ans; cinq nouvelles normes sont ajout�es au R�glement
exception est cependant pr�vue pour les produits chimiques fabriqu�s sur
dâeau de surface. le traitement de l�eau. Les
Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des modifications
potable (RQEP) selon la derni�re mise � jour publi�e le 14 ao�t 2014. tel r�seau, mettre en place les mesures appropri�es pour prot�ger les
aliment�s par un tiers assujetti � ce contr�le, 15 substances inorganiques
responsables de ces r�seaux non municipaux devront cependant, si la
surface)
De préférence, demandez qu’elle soit décapsulée devant vous. Norme tunisienne relative aux spécifications des eaux traitées utilisées à des fins agricoles - NT 106.003 - 1989 exempt�s des contr�les aux robinets de la citerne en raison des probl�mes de
jours par semaine. colonne dâeau sous la glace.....57 6.2.4 protocole dâÉchantillonnage de la colonne dâeau en profondeur dans les lacs et les cours dâeau .....60 6.2.5 protocole dâÉchantillonnage depuis la rive 64 La société Lyonnaise des Eaux France gère le service dans le cadre des r�guli�rement la qualit� de l�eau distribu�e et d�appliquer en tout
La qualité de lâeau potable est encadrée par la Directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 et le décret 2001-1220, qui fixe les limites et références de qualité pour lâeau potable. Lâeau ne doit pas contenir plus de 10 bactéries coliformes totales par 100 millilitres dâeau prélevée, lorsquâon utilise une technique permettant de faire le dénombrement. 200 000 personnes = 110 �chantillons. | Sites d'int�r�t |
plus de 5 % des mesures inscrites durant 30 jours cons�cutifs � la
3.4
� partir de 100 001 ajouter un �chantillon par tranche de 10 000
Notez que vous ne recevrez aucune réponse. laboratoire accr�dit� et, dans certains cas, r�aliser des mesures
pour r�pondre aux exigences du R�glement; seule l�analyse
Le R�glement sur la qualit� de l�eau potable (RQEP) vise � am�liorer la
Les
(chlorites, chlorates, acide [4-chloro-2-m�thylph�noxy]
disposition du ministre du D�veloppement durable, de l�Environnement et de
|
dont l�efficacit� n�a pas �t� le sujet d�un avis d�un
|
attester sur ce formulaire que l�eau a �t� convenablement pr�lev�e,
par le R�glement. source souterraine sous l�influence directe de l�eau de surface; rend obligatoire la d�sinfection des eaux souterraines contamin�es par