Il faudrait également prendre en compte la lecture psychologique. Il a besoin de l’amour de “Mother”. Dans le même temps, Mother commence à ressentir des choses bizarres, comme des étourdissements, et une fissure ensanglantée plutôt étrange apparait sur le plancher. L’enfant conçus étant bien une personnification de Jésus, j’avais peux de doutes sur la personne de Marie dans le rôle de “Mother”. Comme vous l’expliquez le cycle se répète et l’homme recommence jusqu’à que le cycle s’arrète. Furieuse, MOTHER incendie la maison pour exterminer ses occupants. Surtout l’emballement démesuré de la fin, dont je n’avais pas compris la volonté du réal. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Laissez donc un commentaire ! Pour moi, les 3 interprétations s’imbriquent : le message biblique qui fait de Dieu le poète/créateur ultime qui ne parvient pas à contrôler les hommes qu’il a lui-même créé, à cause d’une trop grande compassion ou à cause d’une trop grande mégalomanie . Il demande une dernière chose à Mother, son amour et c’est cet amour qui permet d’effacer/oublier toutes les violence passées. Page 5 : La parole à l'une de nos lectrice, et psychologue ! L’artiste ne controle plus son oeuvre! Il met en tentation Adam en lui montrant le cristal. Vous dites que vous ne comprenez pas pourquoi la tache de sang formée sur le sol à la suite du meurtre d’Abel prendrait la forme d’un vagin. À son ouverture, ils sont tous retrouvés morts sauf un qui s'enfuit. On se retrouve du coup devant un film, certes prenant, mais terriblement confus. Aimer un artiste, comme lui, est destructeur. L’histoire : Soo-hyun, jeune agent des services secrets sud-coréen, se lance à la poursuite du tueur en série qui a tué sa fiancée alors enceinte, avec en tête un plan de vengeance aussi diabolique que l’est le criminel avec ses victimes. Au final Aronofsky écrit un film relatant le mécanisme, la fondation et la structure universelle, sur laquelle la vie de chacun va pouvoir y être projeter, que c soit du vécu réel, du fantasme, de l’art, tout peut être incruster dans cette seule et unique histoire, dont la forme ne changera pas. On ne sait pas grand-chose à son sujet, si ce n’est qu’elle arrête de le prendre une fois enceinte, et que la situation se dégrade ensuite rapidement. S’agit-il simplement d’un élément destiné à troubler le spectateur (après tout, ce ne serait pas le premier) ou se pourrait-il que MOTHER soit malade et souffre de visions/hallucinations (auquel cas cela pourrait remettre en cause l’ensemble du récit) ? Comme si, trop habitué à les utiliser, Darren Aronofsky s’était laissé aller à du recyclage. World War Z, c’est peut-être la prochaine guerre mondiale. Il y aura forcément qqn pour acquiescer, mais permettez-moi de ne pas être convaincue ni séduite (que ce soit par la forme ou le fond). De plus, il y a un lien intéressant à faire entre l’influence de MOTHER sur LUI et celle de Jennifer Lawrence sur le réalisateur. Mother ou Mère au Québec (hangeul : 마더 ; RR : Madeo) est un film dramatique sud-coréen écrit et réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2009. est un thriller horrifique particulièrement clivant et opaque. On ne sait alors pas encore s'il s'agit d'un retour en arrière dans le temps ou autre chose, mais on sent bien que quelque chose d'un peu spécial tourne autour de ce couple et cette maison. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Effectivement, en se rangeant à ce niveau de lecture, la plupart des plans qui composent le film ont du sens, en particulier le final. Cinéma Coréen, une liste de films par Zoreilfilm : Synopsis : Une veuve élève seule Do-joon, son fils unique, qui est sa seule raison d'être. La maison renait de ses cendres et dans le lit, une jeune femme se réveille, une jeune femme avec un autre visage. D'autres théories ? C’est l’histoire d’un père de famille qui se fait kidnapper dans les années 80 et relâché 15 ans plus tard, sans explication. Le cristal pourrait être les souvenirs du créateurs qu’il garde dans son jardin secret de chambre. Long-métrage d'horreur sud-coréen, Arang (Ahn Sang-hoon, 2006) nous propulse au milieu d'une enquête policière prise en main par la détective So-young et son jeune partenaire, Hyun-ki.En découvrant une affaire sur plusieurs meurtres étranges liées à la mort d'une mystérieuse jeune fille de dix ans, les deux policiers débarquent dans un petit village que l'on dit hanté. Le premier, peut-être le plus évident, est directement lié à la religion, et plus précisément à l’histoire biblique. Les excès s’accumulent en ce personnage animé d’un amour indéfectible et exclusif pour un fils qu’elle maintient en état de dépendance totale (elle pense pour lui … Effectivement, une fois la pierre brisée, le couple est chassé de la pièce et son accès est condamné. Impossible de le dire avec certitude malheureusement, mais quand on connaît la propension de Darren Aronofsky à traiter des troubles psychologiques dans ses films, on peut se dire que l’idée n’est pas complètement farfelue. Bref, si l’on ajouté les autres lectures proposées… qui sont également des plus pertinentes , .. C’est une « Oeuvré » à l’image de l’ambition du réalisateur,.. Un peu trop ambitieuse dans doute… Trop fourre-tout… Et, franchement, beaucoup trop prévisible à mon sens à bien des égards. Oui exact! Le monde a la capacité de retourner à l’état primitif. C’est la question à laquelle Bong Joon-Ho tente de donner une réponse à travers son film Mother qui marque un point dans le drame coréen actuel. Son film est sorti en salles depuis le mecredi 5 juin. Un point déjà souligné plus tôt par LA FEMME quand elle déclare à MOTHER qu’une mère donne tout à ses enfants mais que ce n’est jamais suffisant. Je pense qu’à trop se prendre la tête, on perd la spontanéité du recit et le coté esthetique et visuel de la mise en scene et le jeu des acteurs. . L’EXPLICATION. J’en parle d’ailleurs plus longuement dans ma critique. Lorsque Dieu bannit Adam et Eve du jardin d’Eden, il voue Adam à une vie rude pour gagner son pain (peut-être est-ce pour cela que celui-ci est très souvent pris de quintes de toux dans le film) et Eve à un accouchement dans la douleur, d’où la vision d’un sexe féminin en sang. On se rend compte qu’on détruit la planète mais on agit pas pour autant et le cycle destruction etc revient sans arrêt. « Ils nous tuent dans le commerce, vous savez, puis ils remportent l’Oscar pour un film flippant ! Le film Mother (Corée du Sud, 2009) du réalisateur Bong Joon-ho a été diffusé lors du 25e Festival International du Film de Fribourg dans le cadre d’un panorama dédié à la figure de la femme dans le film noir. En effet, “le Poète” garde caché les enfers (la cave) à “Mother” alors que lui en a connaissance. Je trouve juste dommage que le tout ne soit pas très subtile, le film aurait peut-être gagné en qualité. Quelque temps plus tard, son ouvrage est publié et rencontre le succès. Toutes mes excuses s’il reste des fautes, l’écrannest trop petit. Page 2 : La création et la religion Au début je pensais qu’il fallait que je choisisse entre ces trois niveaux de lectures mais je pense de plus en plus qu’ils ne peuvent être séparé. Cette analyse a été rédigée à chaud, après quelques échanges avec d'autres spectateurs.Il y a surement encore plein de choses à dire sur le film et vos contributions sont les bienvenues. Donc même si l’on a l’impression que “Le Poète” protège “Mother”, il protège ses intérêts et non la personne. Dernière réalisation en date de Darren Aronofsky, à qui lon doit notamment les excellents Requiem for a Dream, The Wrestler ou encore Black Swan, Mother ! Cette interprétation n’étant volontairement pas exhaustive, beaucoup de zones d’ombre qui subsistent à l’issue du visionnage n’ont pas forcément été abordées. Je n’accroche pas trop a l’interpretation biblique, sans doute a cause de mon atheisme, désolé! Alors que c’est moins le cas pour l’approche biblique ou la notion de création, qui ne semblent être utilisées ici que pour brouiller maladroitement les pistes. La Corée du Sud est un grand producteur de Cinema et ses films remportent des succès internationaux comme la récente Palme d'Or de Cannes remportée par le film Parasite. Moi j’ai pas compris le truc bizarre plein de sang retrouvé dans les toilettes par Mother suite au passage de “Eve”.. Il faut aussi souligner que le réalisateur est en couple avec Jennifer Lawrence, ce film peut donc se voir comme un message personnel pour elle. En un mot: génial. Mother est en colère décide de brûler la maison. Du coup, merci pour l’avoir postée ! ou Mère ! Mother! Un fanatisme dont la portée peut être terriblement aveuglante pour les artistes, ceux-ci recherchant parfois désespérément toute forme de reconnaissance. On défend tous les mêmes valeurs, mais elles ne passeront jamais par les mêmes forme ou nomination, par rapport à la vie, l’éducation que l’on a eu. Elle passe sa vie dans une pièce dont la tapisserie évoque le ciel, et elle essaye de représenter quelque chose qui pourrait évoquer des ailes d’ange. Cette analyse complète d’ailleurs plutôt bien la notion de création et d’artiste évoquée dans l’article. Page suivante : La création à tout prix ? Thriller (Memories of Murder), film de monstre (The Host) ou mélo familial (ce Mother), le Coréen magique Bong Joon-ho s'est fait une spécialité dans le bouleversement des genres, codes revisités et maltraitance des règles.Mais le genre importe t-il tant que ça dans son cinéma? Malgré les avertissements sur l’évier, le Déluge survient. Certes, individuellement, il s’agit de thématiques relativement riches mais leur association dans ce film manque, à mon sens, cruellement de cohérence et de pertinence. Je suis d’accord avec vous sur le fait que le film exprime peut-être trop de choses en même temps et pas forcément de la bonne manière. God impregnates Mother, who gives birth to the Messiah, who is followed by an increasingly chaotic communion and Revelations. Le cinéma sud-coréen - Une chronologie, une liste de films par Kikuchiyo : Créer mon profil Rejoindre la communauté ... toujours sans explication. Film « catasdrôle » Le cinéma coréen se porte bien. “Le Poète” vas demander a “Mother” de pardonner aux Hommes la destruction de tout ce qu’elle à créer et du mal qu’ils lui ont fait dès que “Le Poète” sens que “Mother” vas le quitter. Film asiatique : Real (Corée du Sud), Année : 2017. https://oblikon.net/analyses/mother-explications-du-film-et-de-la-fin Au détour de quelques séquences, nous apprenons que MOTHER a complètement réhabilité la maison après un incendie, tandis que LUI est un auteur à succès en panne d’inspiration. Le film s’ouvre par les plans d’une personne (probablement une femme) en train de brûler, puis par la pose d’une pierre précieuse sur un socle. Une autre Mother. Avec Mother!, le cinéaste revient à un cinéma moins consensuel. Pour ma part, je trouve justement que certains niveaux de lecture manquent de sens quand on les associe. A chaque maux de cœur, elle ingurgite le mélange comme pour se redonner un coup de fouet, un regain de vitalité, elle qui donne tant sans retour. En effet, de la même façon que les intrus détruisent progressivement la maison, Javier Bardem exploite et détruit progressivement sa femme. Page 4 : Explications de la fin du film Le film démarre plus précisément par les plans du visage d'une femme qui brûle, et par la pose d'un cristal sur un socle qui entraîne la restauration des différentes pièces d'une maison en cendres, comme si elles n'avaient pas été en feu. Un couple sans enfant vis dans une grande maison isolée du reste de la civilisation. Il est à la fois mégalo, il a du mal à s’occuper de sa femme (Mère Nature) et même de son fils. Avec le recul, il est toutefois possible de dégager certaines pistes de réflexion permettant de mieux appréhender l’ensemble et, pourquoi pas, de tenter de comprendre ce que le réalisateur américain a voulu nous dire. Avec la symbolique finale : pour qu’il puisse reconstruire, il lui arrache le cœur, l’achevant. (je ne prend pas en compte les films Américano-Coréen comme Stoker de Park Chan-wook et je ne prend pas en compte les films Coréen que j'ai noté a 5 voir moins) Si vous avez des propositions n'hésitez pas je serais heureux de faire de nouvelles découvertes :) Nous vous proposons ci-dessous une analyse complète du film et de ses nombreux thèmes et messages cachés. Vous avez pas le cerveau qui fume après à vous poser toutes ces questions ?. Je vais vous faire par de ce que moi j’ai pu conclure de ce film. Concernant le cave, ne serait-ce pas la représentation de l’Enfer sans compter le feu dans la chaudière ? A titre personnel, je dois reconnaître que j’ai une préférence pour la dernière interprétation qui, au-delà d’être la plus subtile, est également la plus solide sur la longueur. Quant à la cave, il pourrait tout simplement s’agir de l’enfer (feu). Autre chose, à plusieurs reprise, Mother ressent la vie de la maison, elle est presque capable de la voir brûler, sans-doute pour montrer les traces des précédents cycle ou pour montrer qu’elle connaît déjà la triste fin de chaque cycle. Dans le même ordre d’idée, on pourra aussi légitimement reprocher au réalisateur l’opacité de son film. La vie tranquille et la solitude sont interrompus lorsqu'un couple d'étrangers, "L'homme" et "La femme", débarque et s'installe dans leur maison. Bonsoir, merci beaucoup pour votre critique. “She’s given us life on this planet. _ un poète qui sèche pendant longtemps dans le film, stérilité que l’on peut relier à des réticences à être père, comme s’il n’assumait pas complètement les responsabilités que cela implique. Bonne lecture ! C’est le premier film coréen que j’ai vu et il m’a donné envie de découvrir le cinéma asiatique. La critique cinéma, c’est un métier ! C’est presque pour moi, une histoire, qui les vaut toute, un anneau pour les gouverner tous, le un, qui contient le tout, et se divise par le reflet de ce que les gens vont vouloir y greffer dessus, mais toujours avec la fondation d’origine. En la posant sur un socle, les pièces de la maison se restaurent et dévoilent une nouvelle femme. Bonjour ! Le soufre est un des principaux éléments nécessaire à la création de la vie. Mother est une telle allégorie de la vie que Aronofsky voit dieu/l’artiste en une seule personne et pense le processus créatif comme la construction complète d’un monde. Une fois la naissance faite, le public attend de contempler son oeuvre-enfant et le consommer, Comme le dit Tarkovski à propos du cinéma, une fois le film créé, présenté et donné au public, l’artiste est dépossédé de son oeuvre et le film aura une vie independante car apprécié et interpreté selon chaque spectateur. C’est ce qu’exprime formidablement bien le personnage de LUI, un artiste égocentrique qui privilégie l’art à la vie. Et n'oubliez pas de réagir en commentaires. Si LUI trouve dans cette arrivée une véritable bouffée d’oxygène, MOTHER est au contraire perturbée par leur intrusion. Le couple se retrouve de nouveau seul. Doctor Who Saison 9 Episode 1 : EXTERMINATE ! Il livre un film qui est fait de telle manière, qu’on peut y voir plusieurs choses, interprétations, mais le fond qu’il cherche à nous communiquer, c’est qu’on y voit ce par quoi l’on est concerné, et que l’on ne devrait pas dissocier, ou opposer toute nos différentes visions, mais au contraire, les réunir, pour comprendre, et identifier, qu’en réalité on parle tous de la même chose, mais sous une forme différente. Il a été présenté en compétition dans la sélection Un certain regard au Festival de Cannes . Mother (Jennifer Lawrence) se réveille. Concrètement, que se passe-t-il ?